manifeste.
« In computerese, functionality refers to the things that a program does — a spreadsheet can make calculations of certains types, for instance, and a word processor can do such things as move text around, display different fonts, and check spelling. Interface designers often describe their task as representing a program’s functionality. But this understanding of functionality brings us to [the enigma of] the tree falling in the forest [without someone there to witness it]. A spreadsheet’s ability to crunch numbers in certain ways is only potential until a person gives it some numbers to crunch and tells it how to crunch them, in fine or gross detail. Thus the definition of functionality needs to be reconceived as what a person can do with a program, rather than what a program has the capacity to do. » (En langage informatique, la fonctionnalité fait référence à ce que le programme fait — un tableur, par exemple, peut faire des calculs de différent types, et un traitement de texte peut faire des choses telles que déplacer du texte, afficher différents polices de caractères et vérifier l’orthographe. Les designers d’interfaces graphiques décrivent souvent leur tâche comme la représentation des fonctionnalités d’un programme. Mais cette conception de la fonctionnalité nous ramène à l’énigme de l’arbre qui tombe dans une forêt (sans que personne ne soit là pour en témoigner]. Avant de proposer des chiffres à calculer et des instructions qui décrivent comment les calculer et à quelle résolution, un tableur numérique n’est que potentiel. Aussi, la définition de la fonctionnalité doit être reformulée comme étant ce qu’une personne peut faire avec un programme, plutôt que ce qu’un programme a la capacité de faire.) — Brenda Laurel, Computers as Theatre, Addison-Wesley, 1993, p.43-44