I got a brief mention in Annick Rivoire’s article “Clash Scratch Flash” today. We actually planned to meet and discuss my installation more in depth, but for the second time she never showed up. Ah, les journalistes… So all I got was the following mention, not really a critique of any sort, but she was positive about the work, so I shouldn’t complain.
Fond et forme. Les images expérimentales d’aujourd’hui redéfinissent le cinéma dans sa forme, éclatée dans les installations interactives, «mappée» (superpositions de couches d’images) dans les courts métrages , morphée d’effets spéciaux, bidouillée pour la vieillir artificiellement ou lui donner un effet pixel. Le fond aussi est métamorphosé : narration interactive, où, à la façon d’un Chris Hales, le public est sommé de choisir la suite, narration algorithmique (générée par l’ordinateur), où, comme avec le beau projet de Douglas Edric Stanley, Concrescence, les mains des spectateurs effleurent une table de projection et recomposent ainsi de courtes séquences du Psychose d’Hitchcock.
The rest of her article can be found on the Libération website.
Oh, did I mention that Chris Hales was one of the artists invited to Némo? As Annick mentions, he’s still working with interactive narratives. He’s really quite charming, I liked him a lot. He also gave a great presentation this evening, very wacky.